J'ai conçu l'amour, à présent il me menace,
Hadès de gauche me châtie, Aphrodite de droite m'embrasse,
Humble créature devant les caprices divins je demeure,
Je me débats, je me bidonne mais enfin je pleure,
Me laisserais-je emporter par la bise maudite,
Je me suis avéré faible, certainement c'est cela que je mérite,
Ou refoulerais-je ma flamme et suffoquais-je mon âme,
Cette âme exigeante et ce haut qui pue l'orgueil,
Confusion, frisson et extase m'enveloppent sur le seuil,
Au seuil de l'inconnu, mon âme impatiente laisse choir une larme,
Le sablier ne s'arrête point et ce temps épouvantable,
Horrifie le moi le pétrifie, tel l'effet des flammes sur le sable,
Amour tu m'affoles, amour je te plains,
Maudite chimère, pourquoi n'en finis-tu pas sur place,
Accomplis ton oeuvre, prends mon âme et jette là devant un train,
J'opte pour la perte, la fin plutôt que de demeurer misérable sans que rien ne se passe,
Je jette ma plume, j'abandonne mes idéaux,
Je songe au nectar, seul pourra tuer, bannir mes maux,
Ramenez-en un verre, une bouteille, ramenez moi une corde !
C'est la fin, je l'accroche à la lampe et je saute,
Enfin mon âme reposeras sereine, je quitterais ce bas monde,
Je te l'abandonne sale horde !
Hadès de gauche me châtie, Aphrodite de droite m'embrasse,
Humble créature devant les caprices divins je demeure,
Je me débats, je me bidonne mais enfin je pleure,
Me laisserais-je emporter par la bise maudite,
Je me suis avéré faible, certainement c'est cela que je mérite,
Ou refoulerais-je ma flamme et suffoquais-je mon âme,
Cette âme exigeante et ce haut qui pue l'orgueil,
Confusion, frisson et extase m'enveloppent sur le seuil,
Au seuil de l'inconnu, mon âme impatiente laisse choir une larme,
Le sablier ne s'arrête point et ce temps épouvantable,
Horrifie le moi le pétrifie, tel l'effet des flammes sur le sable,
Amour tu m'affoles, amour je te plains,
Maudite chimère, pourquoi n'en finis-tu pas sur place,
Accomplis ton oeuvre, prends mon âme et jette là devant un train,
J'opte pour la perte, la fin plutôt que de demeurer misérable sans que rien ne se passe,
Je jette ma plume, j'abandonne mes idéaux,
Je songe au nectar, seul pourra tuer, bannir mes maux,
Ramenez-en un verre, une bouteille, ramenez moi une corde !
C'est la fin, je l'accroche à la lampe et je saute,
Enfin mon âme reposeras sereine, je quitterais ce bas monde,
Je te l'abandonne sale horde !

c hyper joli !!
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