Fumée tu pénètres l'horizon,
Tu infiltres le ciel et tu le défonces munie d'une force de bison,
Fumée ne reconnais-tu plus ta maison ?
Une pensée, du feu, du tabac et ainsi fût la liaison,
Fumée tu sens l'amour, tu sens le songe,
Et les passants en te voyant maudissent l'ange,
L'ange du plaisir qui sur cette terre sur laquelle règne la nuit,
Guette les hommes désespérés que le doux plaisir avait fuit,
O divinité apaise les âmes, répand ton fruit,
Une pierre se brise sur la tête de ses démunis,
Bestiole ! pourquoi as tu encore déguerpi ?
Les esprits jadis paisibles ne supportent point ce jour hardi,
Ils pensent se procurer une corde douce un beau matin de mardis,
O ange ! la vie n'as plus de raison sans ton produit,
Ils s'arracheront leurs propres vies, et te laisseront sale source de désir,
Tu ne trouveras plus d'esclaves ! -poete tu m'incites à rire,
lLe chemin est éternellement ainsi,
A toi esprit fertile, que le folie a bien saisit,
Tu as la plume, tu as la feuille je te laisse en finir,
Tu infiltres le ciel et tu le défonces munie d'une force de bison,
Fumée ne reconnais-tu plus ta maison ?
Une pensée, du feu, du tabac et ainsi fût la liaison,
Fumée tu sens l'amour, tu sens le songe,
Et les passants en te voyant maudissent l'ange,
L'ange du plaisir qui sur cette terre sur laquelle règne la nuit,
Guette les hommes désespérés que le doux plaisir avait fuit,
O divinité apaise les âmes, répand ton fruit,
Une pierre se brise sur la tête de ses démunis,
Bestiole ! pourquoi as tu encore déguerpi ?
Les esprits jadis paisibles ne supportent point ce jour hardi,
Ils pensent se procurer une corde douce un beau matin de mardis,
O ange ! la vie n'as plus de raison sans ton produit,
Ils s'arracheront leurs propres vies, et te laisseront sale source de désir,
Tu ne trouveras plus d'esclaves ! -poete tu m'incites à rire,
lLe chemin est éternellement ainsi,
A toi esprit fertile, que le folie a bien saisit,
Tu as la plume, tu as la feuille je te laisse en finir,

jm c tres boooo
RépondreSupprimer