Un soir agonisant,
J'ai songé à ma solitude,
En ce maudit soir tout semblait moribond,
Interminable peine tu demeures,
L'une de mes plus fréquentes habitudes,
Je regrette une amie, une caresse, une bise, je pleurs,
Solitude tu m'as lanciné, mon esprit tu as soumis,
Esclave sous la sombre lueur de la lune j'implore ta merci,
Eternelle fièvre libère mon âme, ou plutôt ses débris,
Le monde jadis paradis, est à défaut de son soleil,
De longues nuits désertes, et humides je veille,
Nostalgie me ronge, ce doux plaisir de couleur vermeil,
Au fond de l'obscurité j'aperçois une splendeur, un mirage,
Nulle soit soit ton existence, je crois en toi idéale image,
Je bouge vers toi, en vitesse d'étoile, tel un voilier prenant le large,
Sur cette opaque océan je croise d'affreux souvenirs, d'effroyables montres,
Je saisit ma bravoure des deux mains et follement je les éventre,
Invulnérables sont ces bêtes, ma foie, à défaut du divin miracle je périrais au centre,
J'ai songé à ma solitude,
En ce maudit soir tout semblait moribond,
Interminable peine tu demeures,
L'une de mes plus fréquentes habitudes,
Je regrette une amie, une caresse, une bise, je pleurs,
Solitude tu m'as lanciné, mon esprit tu as soumis,
Esclave sous la sombre lueur de la lune j'implore ta merci,
Eternelle fièvre libère mon âme, ou plutôt ses débris,
Le monde jadis paradis, est à défaut de son soleil,
De longues nuits désertes, et humides je veille,
Nostalgie me ronge, ce doux plaisir de couleur vermeil,
Au fond de l'obscurité j'aperçois une splendeur, un mirage,
Nulle soit soit ton existence, je crois en toi idéale image,
Je bouge vers toi, en vitesse d'étoile, tel un voilier prenant le large,
Sur cette opaque océan je croise d'affreux souvenirs, d'effroyables montres,
Je saisit ma bravoure des deux mains et follement je les éventre,
Invulnérables sont ces bêtes, ma foie, à défaut du divin miracle je périrais au centre,





